L’air que nous respirons contient un mélange de gaz et de particules qui peuvent varier en fonction de l’activité humaine, des conditions météorologiques et des phénomènes naturels. La pollution atmosphérique dégrade cependant la qualité de l’air dans l’environnement et à l’intérieur des bâtiments, ce qui expose les populations à de réels risques sanitaires.
Malheureusement, ce sont les activités déployées par l’homme qui constituent la principale source de pollution de l’air dans de nombreuses régions du monde :
Pour lutter efficacement contre cette pollution de l’air ambiant, il est essentiel de surveiller la qualité de l’air en temps réel en établissant des stations de mesure qui analysent en continu les principaux polluants, et permettent de calculer des indices de qualité de l’air, tels que l’ATMO ou la CAS (Québec).
L’évolution d’un certain nombre de polluants atmosphériques peut ainsi être suivie au jour le jour, parmi lesquels le dioxyde d’azote, le dioxyde de soufre, le monoxyde de carbone, l’hydrogène sulfuré, les particules fines, les composés organiques volatils…
Pour le suivi de la qualité de l’air intérieur, qui concerne tous les bâtiments (centres commerciaux, écoles, hôpitaux, bureaux, stationnements, ateliers…), des instruments sont également nécessaires pour une surveillance efficace et un contrôle intelligent des systèmes de ventilation.
Les stations de mesure de la pollution atmosphérique peuvent être installées sur tous sites nécessitant un suivi de la qualité de l’air du fait d’émanations de poussières et de gaz, parmi lesquels :